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Free Content The Genetic Theory of Schizophrenia: A Critical Overview

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This article examines family, twin, and adoption studies supporting the widely accepted belief in the genetic basis of schizophrenia. Because results from family studies are consistent with a genetic or an environmental causation, emphasis is placed on twin and adoption studies. The validity of twin studies centers on the question of whether monozygotic/dizygotic concor dance rate differences can be ascribed to genetic influences. This attribution rests on the assumption that identical and fraternal twins experience similar environments. There is good reason to doubt this assumption, and twin studies may only have measured the greater environmental similarity experienced by identical twins. Adoption studies also depend on a critical theoretical assumption: that factors relating to the adoption process (including the policies of adoption agencies) did not create conditions leading to a higher schizophrenia rate among experimental group adoptees. Evidence from the three regions where adoption studies took place suggests that potential adoptees with a family history of "mental illness" were placed into rearing environments inferior to those experienced by control adoptees. Twin and adoption studies have suffered from many other serious methodological problems. It is concluded that the evidence in favor of the genetic theory of schizophrenia is inconclusive, and that this theory should therefore be rejected until new evidence is presented in its favor. This analysis predicts that a gene for schizophrenia will not be found, because it does not exist.

Este artículo examina los estudios de familias, gemelos y adopción que apoyan la ampliamente aceptada creencia en la base genética de la esquizofrenia. Ya que los resultados de estudios de familias son consistentes con una causal genética o ambiental, el énfasis es puesto en los estudios de gemelos y adopción. La validez de estudios de gemelos se centra en la pregunta de si las diferencias en el índice de concordancia monozigótica/dizigótica pueden estar adscritas a influencias genéticas. Esta atribución se basa en la presunción que los gemelos idénticos y fraternales experiencian ambientes similares. Hay buena razón para dudar de esta presunción, y los estudios de gemelos pueden haber medido solamente la semejanza ambiental más grande experimentada por gemelos idénticos. Los estudios de adopción también dependen de una presunción teórica crítica: que los factores relacionados al proceso adoptivo (incluyendo las políticas de las agencias de adopción), no crearon condiciones que condujeran hacia un nivel más alto de esquizofrenia entre los adoptados del grupo experimental. La evidencia de las tres regiones donde tuvieron lugar los estudios adoptivos sugiere que los adoptados potenciales con una historia familiar de "enfermedad mental" fueron puestos en ambientes de crianza inferiores a los experienciados por los adoptados del grupo de control. Los estudios de gemelos y adopción han sufrido de muchos otros problemas serios de metodología. Se concluye que la evidencia que favorece la teoría genética de la esquizofrenia es inconcluyente, y que, por eso, esta teoría debe ser rechazada hasta que se presente nueva evidencia a su favor. Este análisis predice que un gene para la esquizofrenia no será descubierto, porque no existe.

Cet article se penche sur les études familiales, de jumeaux et d'adoption qui sous-tendent la croyance en l'origine génétique de la schizophrénie. Les résultats des etudes familiales étant consistants avec une explication génétique ou environnementale, nous mettons ici l'accent sur les études de jumeaux et d'adoption. La validité des premières dépend du bien-fondé d'attribuer à une influence génétique les différences du taux de concordance entre jumeaux identiques et fraternels. L'attribution repose sur la présomption que ces deux types de jumeaux partagent des environnements similaires. Il existe cependant de bonnes raisons de douter de la justesse de cette présomption et les études de jumeaux n'ont peut-être mesuré que la plus grande similarité environnementale chez les jumeaux identiques. Quant aux études d'adoption, leur validité dépend aussi d'une présomption cruciale: que les facteurs liés aux processus d'adoption (ex., règlements en vigueur dans les agences d'adoption) n'ont pas contribué à augmenter le taux de schizophrénie chez les adoptés des groupes expérimentaux. Cependant, dans les trois régions oú les etudes d'adoption ont été réalisées, tout indique que les adoptés potentiels avec une histoire familiale de "maladie mentale" ont été placés dans des foyers nettement inférieurs que ceux oü ont été places les adoptés des groupes témoins. Ces deux types d'études contiennent d'autres failles méthodologiques sérieuses. Il est ici conclu que l'évidence en faveur de la théorie génétique de la schizophrénie est inconcluante et qu'elle devrait donc être rejetée jusqu'à l'existence de nouvelles preuves en sa faveur. Cette analyse prédit qu'on ne découvrira jamais un gène de la schizophrénie, car ii n'existe pas.

Document Type: Journal Article

Affiliations: California School of Professional Psychology, Alameda, CA

Publication date: 01 January 1999

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