Messung und Beurteilung der ,,Ruhigkeit” bei Geräuschimmissionen

The data for describing the intensity of a noise — and with it also of the annoyance — depends upon average levels, which is a measure of the mean sound energy at the place of immission. The least know variable effect, that of small constant level fluctuating noises, in contrast to intermittent noise with strong individual levels (aircraft, railways) cannot be recorded as average levels. Until now numerical measurements are lacking of the pauses in noise bursts. New data are proposed which on the one hand correlate strongly with man's territorial quitness and on the other hand, through the combination of average and critical levels, gives a better criterion of the interference effect of different noises.

Zusammenfassung

Kennwerte zur Beschreibung der Stärke eines Geräusches — und damit auch der Störwirkung — beruhen auf Mittelungspegeln, die ein Maß für die mittlere Schallenergie am Immissionsort sind. Die möglicherweise unterschiedliche Wirkung konstanter, pegelmäßig wenig schwankender Geräusche gegenüber intermittierenden Geräuschen mit starken Einzelpegeln (Flugzeuge, Bahnen) kann der Mittelungspegel nicht erfassen. Es fehlen bisher Maße, die Geräuschpausen zahlenmäßig kennzeichnen. Hierfür werden neue Kennwerte vorgeschlagen, die einerseits hoch mit der vom Menschen empfundenen Ruhigkeit eines Gebietes korrelieren und andererseits durch Kombination mit Mittelungs- und Beurteilungspegeln eine bessere Kennzeichnung der Störwirkung unterschiedlicher Geräuscharten ermöglichen.

Sommaire

Les valeurs des grandeurs caractéristiques qui servent à décrire l'intensité d'un bruit — et partant sa nuisance — se déterminent à partir de niveaux moyennés mesurant l'intensité acoustique moyenne à l'endroit insoné. Mais un niveau moyen ne peut traduire les différences qui peuvent se manifester entre des bruits qui varient peu et lentement autour de leurs valeurs moyennes et des bruits totalement intermittents comme ceux du passage des avions ou des trains.

Pour en tenir compte, il convient d'introduire une mesure de la durée des pauses ou des arrêts du bruit, ce qui n'avait pas été fait jusqu'ici. C'est pourquoi on propose de nouvelles grandeurs caractérisques, qui sont, d'une part, étroitement corrélées avec la notion subjective qu'un homme peut avoir de la «tranquillité» d'un lieu, et qui, d'autre part, permettent une meilleure caractérisation de la nuisance des différentes sortes de bruit grâce à une combinaison convenable des niveaux moyennés et des niveaux estimés.