Functions of COP side-events in climate-change governance

Side-events are the most visible venue for civil society involvement in international climate negotiations. The many varied functions that side-events fulfil for participants and organizers are identified and analysed for their contributions generally as well as for their contribution to the negotiation process. The analysis is based on two surveys of over 2,000 side-event participants and organizers at COP-13 and COP-14. The surveyed side-events were found to fulfil the broader official objective of benefiting COP participants through providing a shared conceptual basis as well as building institutional capacity and legitimacy. All participant groups, particularly from Africa, G77, and less-developed countries, found these events useful for their work. As a venue for information dissemination, side-events provide an important opportunity for capacity building. Historically, new items were introduced at COP side-events before being discussed in the formal negotiations. Side-events also provide a process for creating a shared vision. By providing a forum that includes more organizations and actors in conjunction with the negotiations, side-events have the potential to increase the input legitimacy of the international policy process. A significant challenge will be the inclusion of a wider range of stakeholder groups and geographical, socioeconomic and epistemic communities, in order to avoid favouring the hegemony of NGOs and other organisations based in industrialized countries, as well as Annex 1 Parties.

Les évènements parallèles sont les lieus les plus propices à la participation citoyenne dans les négociations internationales sur le climat. Les rôles nombreux et variés des évènements parallèles crées au profit des participants et organisateurs sont identifiés et analysés pour leur apport général ainsi que pour leur contribution au processus de négociation. Cette analyse porte sur deux enquêtes sur plus de 2000 participants aux évènements parallèles et leurs organisateurs à COP13 et COP14. Les évènements parallèles étudiés se sont révélés utiles à la réalisation d’objectifs généraux, procurant une base conceptuelle commune aux participants aux COPs, ainsi qu’en matière de légitimité et de renforcement des capacités institutionnelles. Tous les groupes de participants, en particulier ceux d’Afrique, du G77, et des pays les moins développés, ont trouvé ces évènements utiles pour leur travail. En tant que lieu de diffusion d’information, les évènements parallèles fournissent une occasion importante pour le renforcement des capacités. Il est déjà arrivé que de nouveaux éléments fussent abordés pendant les évènements parallèles avant d’être intégrés au processus politique. Les évènements parallèles aident aussi à la création d’une vision commune. En servant de forum englobant un plus grand nombre d’organisations et d’acteurs liés aux négociations, les évènements parallèles ont le potentiel de renforcer la légitimité du processus de politique internationale auquel ils contribuent. L’inclusion d’un plus grand éventail de parties prenantes et de communautés géographiques, socioéconomiques, et épistémiques représente un défi considérable dans le but d’éviter la prépondérance des ONGs originaires des pays développés et de l’Annexe 1.