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Trends in event rate and case fatality of patients hospitalized with myocardial infarction between 1984 and 2001

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Between 1984 and 1993, prevalence and case fatality of hospitalized acute myocardial infarction (AMI) had declined in the population of Halifax County. We aimed to determine whether these trends continued into the 21st century by investigating patient characteristics, treatment methods, and fatality for hospital admissions of residents of Halifax County, aged 25–74, during 1984–1989 (period 1), 1990–1993 (period 2), and 1998–2001 (period 3) and diagnosed as AMI that were extracted from databases for the Halifax County MONICA and ICONS (Improving Cardiovascular Outcomes in Nova Scotia) Studies. Trends in patient characteristics and treatment methods were assessed by χ2 statistics. Their association with 28-day fatality was determined by logistic regression. Event rate declined during 1984–1993 but not into 1998–2001 (p = 0.206). Compared with 1990–1993, fewer AMI patients during 1998–2001 were ≥55years (73.3% vs. 69.9%), cigarette smokers (49.8% vs. 42.9%), had a history of myocardial infarction (28.9% vs. 24.9%), and had an admission heart rate >100 (34.8% vs. 17.4%). Additionally, more patients had a history of diabetes (22.5% vs. 28.1%). Case fatality declined progressively over the 3 study time periods (16.6%, 13.1%, and 9.4%, respectively). Changes also occurred in prevalence of Killip class 4 status during admission (20.2%, 10.3%, and 13.3%, respectively), use of thrombolysis (9.0%, 30.9, and 32.6%, respectively), and percutaneous coronary intervention (PCI) (4.3%, 11.2%, and 22.4%, respectively) in the different periods. Significant associations were found between case fatality and patient history of diabetes, history of MI, age, elevated admission heart rate, Killip class 4 impairment, thrombolysis, and PCI. The ICONS registry of hospitalized acute myocardial infarctions was used to compare case fatality during 1998–2001 with that reported by the Halifax County MONICA Project for 1984–1993. Whereas the population rate of myocardial infarctions had declined between 1984–1993 but not subsequently, case fatality declined significantly throughout the study period. The continued decline in case fatality is likely explained by changes in patient profile on presentation and medical therapies, including the increased use of thrombolysis and PCI.

Entre 1984 et 1993, la prévalence et la létalité de l’infarctus du myocarde aigu (IMA) à l’hôpital ont diminué dans la population du comté d’Halifax (Halifax County). La présente étude a eu pour objectifs de déterminer si ces tendances se sont poursuivies au 21e siècle. Les caractéristiques des patients, les méthodes de traitement et la létalité pour ce qui est des admissions à l’hôpital de résidents du comté d’Halifax, âgés entre 25 et 74 ans, entre 1984–1989 (période 1), 1990–1993 (période 2) et 1998–2001 (période 3), et diagnostiqués comme présentant un IMA, ont été extraites des bases de données des études MONICA et ICONS du comté d’Halifax. Les tendances dans les caractéristiques des patients et des méthodes de traitement ont été évaluées au moyen des statistiques du χ2. Leur association avec la létalité à 28 jours a été déterminée par régression logistique. Le taux d’événements a décliné durant la période 1984–1993, mais pas durant la période 1998–2001 (p = 0,206). Par comparaison aux patients de la période 1990–1993, moins de patients de la période 1998–2001 présentant un IMA étaient âgés ≥55 (73,3 % vs. 69,9 %), fumeurs (49,8 % vs. 42,9 %), avaient des antécédents d’infarctus du myocarde (28,9 % vs. 24,9 %) et une fréquence cardiaque à l’admission >100 (38,4 % vs. 17,4 %). Plus de patients avaient des antécédents de diabète (22,5 % vs. 28,1 %). La létalité a décliné progressivement durant les 3 périodes de l’étude (16,6 % vs. 13,1 % vs. 9,4 %). Des modifications se sont aussi produites dans la prévalence de la classe Killip 4 durant l’admission (20,2 % vs. 10,3 % vs. 13,3 %) ainsi que dans l’utilisation de la thrombolyse (9,0 % vs. 30,9 % vs. 32,6%) et de l’ICP (4,3 % vs. 11,2 % vs. 22,4%). Des associations significatives ont été observées entre la létalité et les antécédents de diabète des patients, les antécédents d’IM des patients, l’âge, la fréquence cardiaque élevée à l’admission, les modifications liées à la classe Killip 4, la thrombolyse et l’ICP. Le déclin continu de la létalité s’explique probablement par des modifications dans le profil des patients à l’arrivée et par l’utilisation accrue de la thrombolyse et de l’ICP.

Document Type: Research Article

Publication date: 01 January 2006

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