On-ice sweat rate, voluntary fluid intake, and sodium balance during practice in male junior ice hockey players drinking water or a carbohydrate-electrolyte solution
This study evaluated the repeatability of hydration and sweat measurements taken during on-ice hockey practices with players drinking only water, and determined whether having only a carbohydrate-electrolyte solution (CES) to drink during practices decreased fluid intake or affected
other hydration and (or) sweat measures. All testing was conducted on elite players of an Ontario Hockey League team (±SE; mean age, 17.6 ± 0.3 years; mean height, 182.9 ± 1.4 cm; mean body mass, 83.0 ± 1.7 kg). Players were studied
3 times over the course of 6 weekly on-ice practices (±SE; mean playing time, 1.58 ± 0.07 h; mean temperature, 11.4 ± 0.8 °C; mean relative humidity, 52% ± 3%). There was strong repeatability of the measured hydration and sweat
parameters between 2 similar on-ice practices when players drank only water. Limiting the players to drinking only a CES (as opposed to water) did not decrease fluid intake during practice (±SE; mean CES intake, 0.72 ± 0.07 L·h-1 vs. mean water intake,
0.82 ± 0.08 L·h-1) or affect sweat rate (1.5 ± 0.1 L·h-1 vs. 1.5 ± 0.1 L·h-1), sweat sodium concentration (72.4 ± 5.6 mmol·L-1 vs. 73.0 ± 4.4 mmol·L-1),
or percent body mass loss (1.1% ± 0.2% vs. 0.9% ± 0.2%). Drinking a CES also improved sodium balance (-2.1 ± 0.2 g·h-1 vs. -2.6 ± 0.3 g·h-1) and provided the players with a significant carbohydrate
(43 ± 4 g·h-1 vs. 0 ± 0 g·h-1) during practice. In summary, a single field sweat test during similar on-ice hockey practices in male junior hockey players is sufficient to evaluate fluid and electrolyte balance. Also, a CES does
not affect voluntary fluid intake during practice, compared with water, in these players. The CES provided some salt to offset the salt lost in sweat, and carbohydrate, which may help maintain physical and mental performance in the later stages of practice.
Cette étude évalue la répétabilité des mesures d’hydratation et sueur effectuées chez des joueurs ne buvant que de l’eau au cours de séances d’entraînement au hockey sur glace; l’étude analyse aussi au cours de ces séances l’impact sur l’apport liquidien et sur les autres mesures d’hydratation et (ou) sueur lorsque les joueurs ne consomment qu’une solution sucrée d’électrolytes (CES). L’évaluation porte sur des joueurs d’élite de la Ligue junior de l’Ontario (moyenne ± erreur type, 17,6 ± 0,3 ans, 182,9 ± 1,4 cm, 83,0 ± 1,7 kg). On fait l’évaluation trois fois au cours des séances d’entraînement (1,58 ± 0,07 h, 11,4 ± 0,8 °C, 52 ± 3 % H.R.) réparties sur une période de 6 semaines. On observe une forte répétabilité des mesures d’hydratation et sueur entre deux séances semblables d’entraînement de hockey sur glace quand les joueurs ne boivent que de l’eau. Le fait de limiter les joueurs à la CES ne diminue pas l’apport liquidien comparativement à ne boire que de l’eau au cours des séances d’entraînement (0,72 ± 0,07 comparativement à 0,82 ± 0,08 L·h-1), ne modifie pas le taux de sudation (1,5 ± 0,1 comparativement à 1,5 ± 0,1 L·h-1), la concentration de sodium dans la sueur (72,4 ± 5,6 comparativement à 73,0 ± 4,4 mmol·L-1) et la perte de masse corporelle en pourcentage (1,1 ± 0,2 comparativement à 0,9 ± 0,2 %). La consommation de CES améliore l’équilibre sodique (-2,1 ± 0,2 comparativement à -2,6 ± 0,3 g·h-1) et procure une source significative de sucres au cours des séances d’entraînement (43 ± 4 comparativement à 0 ± 0 g·h-1). Bref, un simple test de sudation réalisé sur le plateau d’entraînement du hockey sur glace chez de joueurs de hockey de niveau junior suffit pour évaluer les équilibres hydrique et électrolytique. Comparativement à l’apport d’eau, la consommation d’une CES ne modifie pas l’apport liquidien volontaire chez ces joueurs au cours d’une séance d’entraînement. La CES procure un peu de sel pour compenser la perte de sel dans la sueur et fournit aussi des sucres pouvant contribuer au maintien de la performance physique et mentale au cours des stades ultérieurs de la séance d’entraînement.
Cette étude évalue la répétabilité des mesures d’hydratation et sueur effectuées chez des joueurs ne buvant que de l’eau au cours de séances d’entraînement au hockey sur glace; l’étude analyse aussi au cours de ces séances l’impact sur l’apport liquidien et sur les autres mesures d’hydratation et (ou) sueur lorsque les joueurs ne consomment qu’une solution sucrée d’électrolytes (CES). L’évaluation porte sur des joueurs d’élite de la Ligue junior de l’Ontario (moyenne ± erreur type, 17,6 ± 0,3 ans, 182,9 ± 1,4 cm, 83,0 ± 1,7 kg). On fait l’évaluation trois fois au cours des séances d’entraînement (1,58 ± 0,07 h, 11,4 ± 0,8 °C, 52 ± 3 % H.R.) réparties sur une période de 6 semaines. On observe une forte répétabilité des mesures d’hydratation et sueur entre deux séances semblables d’entraînement de hockey sur glace quand les joueurs ne boivent que de l’eau. Le fait de limiter les joueurs à la CES ne diminue pas l’apport liquidien comparativement à ne boire que de l’eau au cours des séances d’entraînement (0,72 ± 0,07 comparativement à 0,82 ± 0,08 L·h-1), ne modifie pas le taux de sudation (1,5 ± 0,1 comparativement à 1,5 ± 0,1 L·h-1), la concentration de sodium dans la sueur (72,4 ± 5,6 comparativement à 73,0 ± 4,4 mmol·L-1) et la perte de masse corporelle en pourcentage (1,1 ± 0,2 comparativement à 0,9 ± 0,2 %). La consommation de CES améliore l’équilibre sodique (-2,1 ± 0,2 comparativement à -2,6 ± 0,3 g·h-1) et procure une source significative de sucres au cours des séances d’entraînement (43 ± 4 comparativement à 0 ± 0 g·h-1). Bref, un simple test de sudation réalisé sur le plateau d’entraînement du hockey sur glace chez de joueurs de hockey de niveau junior suffit pour évaluer les équilibres hydrique et électrolytique. Comparativement à l’apport d’eau, la consommation d’une CES ne modifie pas l’apport liquidien volontaire chez ces joueurs au cours d’une séance d’entraînement. La CES procure un peu de sel pour compenser la perte de sel dans la sueur et fournit aussi des sucres pouvant contribuer au maintien de la performance physique et mentale au cours des stades ultérieurs de la séance d’entraînement.
Document Type: Research Article
Publication date: 01 June 2010
- Published since 1983, this monthly journal reports new research on the application of physiology, nutrition, and metabolism to the study of human health and fitness.
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