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Canadian Society for Exercise Physiology position paper: resistance training in children and adolescents

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Many position stands and review papers have refuted the myths associated with resistance training (RT) in children and adolescents. With proper training methods, RT for children and adolescents can be relatively safe and improve overall health. The objective of this position paper and review is to highlight research and provide recommendations in aspects of RT that have not been extensively reported in the pediatric literature. In addition to the well-documented increases in muscular strength and endurance, RT has been used to improve function in pediatric patients with cystic fibrosis and cerebral palsy, as well as pediatric burn victims. Increases in children’s muscular strength have been attributed primarily to neurological adaptations due to the disproportionately higher increase in muscle strength than in muscle size. Although most studies using anthropometric measures have not shown significant muscle hypertrophy in children, more sensitive measures such as magnetic resonance imaging and ultrasound have suggested hypertrophy may occur. There is no minimum age for RT for children. However, the training and instruction must be appropriate for children and adolescents, involving a proper warm-up, cool-down, and appropriate choice of exercises. It is recommended that low- to moderate-intensity resistance exercise should be done 2-3 times/week on non-consecutive days, with 1-2 sets initially, progressing to 4 sets of 8-15 repetitions for 8-12 exercises. These exercises can include more advanced movements such as Olympic-style lifting, plyometrics, and balance training, which can enhance strength, power, co-ordination, and balance. However, specific guidelines for these more advanced techniques need to be established for youth. In conclusion, an RT program that is within a child’s or adolescent’s capacity and involves gradual progression under qualified instruction and supervision with appropriately sized equipment can involve more advanced or intense RT exercises, which can lead to functional (i.e., muscular strength, endurance, power, balance, and co-ordination) and health benefits.

Selon de nombreux énoncés de principe et des articles de synthèse, il n’y a pas lieu d’interdire l’entraînement à la force (RT) chez les enfants et les adolescents. Si les méthodes sont ajustées à ces groupes de sujets, l’entraînement à la force s’avère sécuritaire et améliore la santé globale de l’individu. Le but de cet article-synthèse est d’arriver à un énoncé de principe après avoir analysé les textes de la littérature scientifique et de formuler des recommandations relatives à l’entraînement à la force n’ayant pas fait l’objet d’études poussées dans la recherche pédiatrique. En plus de susciter l’amélioration de la force et de l’endurance musculaires, comme le rapportent de nombreuses études, l’entraînement à la force améliore les fonctions chez les enfants souffrant de fibrose kystique, de paralysie cérébrale et de brûlures. D’après les études, l’augmentation de la force observée chez les enfants serait surtout due aux adaptations du système nerveux plus qu’à l’hypertrophie, car les gains observés sont démesurément importants. Bien que dans la plupart des études portant sur les caractéristiques anthropométriques, on n’a pas observé un degré significatif d’hypertrophie, les études faisant appel à la résonance magnétique et à l’ultrasonographie indiquent que l’hypertrophie est possible. Il n’y a pas d’âge minimal pour s’entraîner à la force quand on est jeune. Ceci étant dit, il faut ajuster le programme d’entraînement et les directives aux enfants et aux adolescents concernant l’échauffement, le retour au calme et le choix d’exercices. On recommande un entraînement au moyen de charges légères et modérées à raison de 2 à 3 fois par semaine en sautant des jours et en commençant par 1 à 2 séries d’exercices pour en arriver à 4 séries constituées de 8 à 15 répétitions d’un ensemble de 8 à 12 exercices. Parmi ces exercices, on peut inclure des mouvements avancés qu’on observe en haltérophilie aux Jeux olympiques, des exercices pliométriques et des exercices d’équilibre, tous contribuant à l’amélioration de la force, de la puissance, de la coordination et de l’équilibre. En ce qui concerne ces derniers mouvements, il est important d’élaborer des directives spécifiques à ce groupe de sujets. En conclusion, les enfants et les adolescents peuvent s’entraîner à la force au moyen d’exercices standards et de niveau avancé pourvu que la progression de l’entraînement soit graduelle et bien supervisée par du personnel qualifié et que l’équipement soit adapté aussi à ce groupe de sujets. Le bilan est positif aux plans fonctionnels (force musculaire, endurance, puissance, équilibre et coordination) et de la santé.

Document Type: Research Article

Publication date: 01 June 2008

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