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Bioenergetic trajectories underlying partial migration in Patuxent River (Chesapeake Bay) white perch (Morone americana)

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Partial migration, the coexistence of resident and migratory individuals within the same population, may be common in fish populations. A proposed mechanism underlying partial migration is differing dispersive responses to early growth conditions, but few studies have explicitly tested this. During their first year of life, white perch (Morone americana) in the Patuxent River (Maryland, USA) exhibit either residency in freshwater natal habitats (resident contingent) or disperse down-estuary into brackish habitats (dispersive contingent). We tested whether white perch juveniles exhibited differing growth and metabolic trajectories based on contingent membership or in response to salinity. A randomized factorial experiment with two contingent types and two salinity treatments (1 and 8) was conducted over a 30-day period. The experiments supported a contingent effect, with the dispersive contingent exhibiting higher consumption rates and a higher scope for growth. In addition, we identified a weak salinity effect with evidence of increased consumption and routine metabolism in mesohaline conditions. Juvenile growth rates calculated from individuals in the field supported laboratory results, with dispersive contingent members exhibiting higher growth rates. We conclude that contingent membership and the related phenomenon of partial migration in this population is associated with varying energetic tactics that significantly influence the scope for growth.

La migration partielle, la coexistence d’individus résidants et migrateurs au sein d’une même population, peut être répandue chez les populations de poissons. Un mécanisme sous-jacent proposé pour expliquer la migration partielle est la présence de réactions différentes de dispersion aux conditions du début de la croissance; peu d’études l’ont cependant testé de façon explicite. Durant leur première année d’existence, les jeunes barets (Morone americana) de la rivière Patuxent (Maryland, É.-U.) ou bien demeurent dans leurs habitats natals d’eau douce (contingent résidant) ou se dispersent en aval dans l’estuaire dans des habitats saumâtres (contingent dispersé). Nous testons si les jeunes barets ont des trajectoires différentes de croissance et de métabolisme selon leur appartenance à l’un ou l’autre contingent et d’après leur réaction à la salinité. Une expérience factorielle aléatoire présentant deux types de contingent et deux conditions de salinité (1 et 8) a été menée pendant 30 jours. Les résultats confirment l’existence d’un effet du contingent; le contingent dispersé possède des taux de consommation plus élevés et des perspectives de croissance plus grandes. Nous identifions, en plus, un faible effet de la salinité avec une consommation et un métabolisme de base accrus dans les conditions mésohalines. Les taux de croissance juvéniles obtenus chez des jeunes en nature confirment les résultats de laboratoire, car les membres du contingent dispersé possèdent des taux de croissance plus élevés. Nous concluons que l’appartenance à un contingent et le phénomène relié de migration partielle dans cette population sont associés à des tactiques énergétiques différentes qui influencent de manière significative les perspectives de croissance.

Document Type: Research Article

Publication date: 01 April 2009

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