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Summer movement and growth of juvenile anadromous salmonids in small western Washington streams

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Movements of juvenile coho salmon (Oncorhynchus kisutch), cutthroat trout (Oncorhynchus clarki clarki), and steelhead trout (Oncorhynchus mykiss) were studied by observations and recapture of marked individuals in three western Washington streams to test the hypotheses that few fish would move, downstream movement would predominate, movers would be initially smaller and grow slower after movement than residents, and habitat quality would influence movement. Contrary to predictions, from 28 to 60% of marked fish moved at least one habitat unit, and immigration of unmarked fish also indicated considerable movement. Upstream movement predominated but the stream with the step-pool/cascade channel type had fewer upstream movers and greater distances moved downstream. Coho movers were not smaller than nonmovers, as predicted based on assumptions that movement results from competitive exclusion. Habitat units that coho left were smaller and shallower but lower in density than units where coho remained. Thus, movement is a common phenomenon rather than an aberration, and may reflect habitat choice rather than territorial eviction. Moreover, movers grew faster than nonmovers, so the "mobile fraction" of the population was not composed of competitively inferior fish but rather individuals that thrived. The phenomenon of small-scale habitat- and growth-related movements should be considered when planning and interpreting studies of juvenile salmonid ecology in streams.

Les déplacements des juvéniles du Saumon coho (Oncorhynchus kisutch), de la Truite fardée (Oncorhynchus clarki clarki) et de la Truite arc-en-ciel (Oncorhynchus mykiss) anadrome ont pu être suivis grâce à l'observation et la recapture d'individus marqués dans trois cours d'eau de l'ouest du Washington afin d'éprouver les hypothèses selon lesquelles peu de poissons se déplacent, les mouvements vers l'aval prédominent, les poissons mobiles sont au départ plus petits et, une fois déplacés, ils croissent plus lentement que les poissons sédentaires et, finalement, la qualité de l'habitat influence les déplacements. Contrairement aux prédictions, de 28 à 60% des poissons marqués se sont déplacés d'au moins une unité d'habitat et l'immigration de poissons non-marqués reflétait l'existence de nombreux mouvements. Les déplacements vers l'amont prédominaient; cependant, dans le cours d'eau où il avait une succession de seuils et de fosses et des cascades, moins de poissons migraient vers l'amont et les distances parcourues vers l'aval étaient plus grandes. Les Saumons coho mobiles n'étaient pas plus petits que les sédentaires, contrairement aux prédictions qui assumaient que les déplacements étaient dus à l'exclusion par compétition. Les unités d'habitat abandonnées par les Saumons coho étaient plus petites et moins profondes que celles où les saumons restaient sur place et leur densité était moindre. Ainsi, les déplacements sont des phénomènes courants plutôt que des événements aberrants et ils reflètent peut-être un choix d'habitat plutôt que l'éviction d'un territoire. De plus, les poissons mobiles croissent plus rapidement que les sédentaires; la « fraction mobile » de la population ne se compose donc pas de poissons inférieurs face à la compétition, mais plutôt de poissons gagnants. Le phénomène des déplacements à petite échelle reliés à l'habitat et à la croissance doit être pris en considération dans la planification et l'interprétation d'études sur l'écologie de saumons juvéniles dans les cours d'eau.[Traduit par la Rédaction]

Document Type: Research Article

Publication date: 01 October 2001

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